A LOmbre Des Maris Série 2 Quatrième Partie : Imène LAutre Amour De Farida
La première fellation que me fit Farida resta dans ma mémoire comme un souvenir
érotique incomparable. Nous étions partis pour une gentille fellation, avec peut-être
certainement serait le mot le plus juste, tant javais toujours adoré cela une
éjaculation buccale et faciale, avec ou sans consommation voulue ou e de sperme.
Mais au lieu de cela, je fis subir à mon amante un pilonnage en règle de sa gorge.
Sans son assentiment au début, puis contrainte et , avec participation. Tout
commença quand Farida, après avoir pris son pied sous les coups de mon manche, debout
adossée à la porte dentrée de mon appartement, se mit à lécher et à sucer ma queue
encore vigoureuse en me disant dans son langage fleuri, quelle était la reine de la
fellation. Et elle se mit aussitôt à men fournir la preuve.
Elle commença par titiller lengin avec le bout de sa langue en soccupant autant du
gland que de la hampe et des bourses et memmena dans un état dexcitation
insupportable. Jétais déjà très fortement excité après avoir lavoir tirée longuement
sa chatte et lai faite jouir intensément, mais trop précocement pour moi, qui navait
pas totalement pris mon pied et navais pas joui. Et quand elle fit pénétrer, au début
avec beaucoup de précaution, parce que javais un sexe de bonne dimension et que sa
bouche à elle nétait pas très grande, mon manche dans sa bouche, javais senti un
bien-être immense pénétrer en moi. Lendroit était tellement suave, chaud, humide et
doux, quil mavait donné limpression quil sagissait dune chatte étroite et
moulante. Inconsciemment, je fis avancer mon bassin pour faire pénétrer mon manche
jusquau plus profond de sa gorge. Cétait magnifique ! Mais seulement pour moi !
Elle par contre eut la réaction normale de vomir, tant mon manche avait été trop loin.
Au-delà de sa glotte.
torturait ainsi. Je me retirai, un peu honteux et mexcusai auprès delle. Pour me
faire pardonner, je lui dis que sa bouche était tellement accueillante que jai eu une
envie irrépressible daller le plus loin possible à lintérieur. Elle était toujours à
genoux devant moi, tenant mon sexe dans sa main droite. Je me mis moi aussi dans la
même position quelle en lui faisant face. Elle ne lâcha pas mon manche. Je lui dis
quelle ne devait pas men vouloir pour ce geste.
- Ga3 ensa li nekthoum a3taw-ni foumhoum ou charbou ezzel en-ta3i ! Bezzaf
hebbou ! Oukhrin lalla ! (Toutes les femmes que jai tirées mont offert leurs bouches
et ont bu mon foutre ! Beaucoup ont aimé ! Dautres non !)
- Hetta ana enn-heb ezzal! Enn-heb en-charbou! Walakin machi hakdha! Machi
bezzour fi foumi! En-haklek zebek hetta ett-farragh ! Fi foumui ila bghit ! Oula fi
wedjhi ! Oula foug zouïazi ! Ou enn-charbou ! En-dirou hak dha ? (Même moi jaime le
sperme ! Jaime en boire ! Mais pas comme cela ! Pas avec cette brutalité dans ma
bouche ! Je vais te branler jusquà ce que tu éjacules ! Dans ma bouche, si tu veux !
Ou sur mon visage ! Ou sur mes seins ! Et je le boirai ! On fait comme ça ?)
Inutile de dire que pour moi, cétait un pis-aller. Mais cétait mieux que rien !
Farida qui me regardait droit dans les yeux pendant quelle me décrivait ce quelle
voulait faire, comprit très vite que sa proposition nétait pas vraiment ce que
jattendais. Elle venait de comprendre que la baiser par la bouche était pour moi
aussi jouissif que de la tirer par sa chatte ou par son cul. Elle ne lâchait toujours
pas mon manche, qui continuait de palpiter dans sa main. Elle le serrait de temps en
temps très fort, tirant de moi un petit gémissement de plaisir. Elle semblait
réfléchir à la suite quelle allait donner à notre relation.
que même si elle memmenait au plus haut du ciel en moffrant tout ce quelle avait à
moffrir, y compris toute son expérience sexuelle auprès damants multiples quelle
avait eus auparavant, elle narriverait pas à menlever de lesprit quelle mavait
refusé une de mes échelles préférées pour monter au septième ciel. Et tout à coup,
elle se décida.
- Ni k-ni mel foum ! (Baise-moi par la bouche !)
Je fis semblant de ne pas comprendre. Je lui demandais si elle voulait me faire une
fellation.
- Lalla ! Bghit ett-nikni men foumi ! Kima dert m3a ensa lekhourin! Walakin
nik-ni bela3kel ! Nodh ! Eddini le-chambra ! (Non ! Je veux que tu me baises par la
bouche ! Comme tu le fais avec les autres femmes ! Mais doucement ! Debout ! Amène-moi
dans la chambre !)
Je me levai la pris par la main et lentraina dans ma chambre au fond de
lappartement. Tout ce temps-là elle navait pas lâché mon manche quelle avait gardé
dans sa main droite. Elle jeta un il rapide à la chambre qui sembla être à son goût
et alla, toujours en tenant mon zob, sassoir au bord du lit. Elle fit en sorte, en me
guidant avec mon manche, que je me mette en face delle. Javais le sexe presque à la
hauteur de sa bouche. Elle devait se pencher un peu pour être tout à fait à la bonne
hauteur. Et sans aucune hésitation elle ouvrit sa bouche, écarta les dents et avança
la tête pour faire pénétrer elle-même lengin. Doucement jusquà la limite de la
gorge. Visiblement, elle avait peur de la douleur ou de la sensation d
quelle allait ressentir si elle laissait lengin aller trop loin. Elle fit faire à sa
tête un mouvement de recul jusquà ce que mon sexe sortît totalement de sa bouche et
lui fit refaire le chemin inverse. Elle refit la manuvre plusieurs fois, toujours
sans dépasser la limite du supportable pour elle.
Cétait ce quelle voulait que je lui fasse. La baiser en faisant attention à ne pas
aller trop loin.
Elle tenait toujours fermement la base de la hampe et arrêta le mouvement de dallers-
retours de sa tête. Elle me fit signe en tirant vers lavant mon manche de faire moi-
même le travail. Je ne me fis pas prier pour entamer un mouvement de va-et-vient dans
sa bouche grandement ouverte, en faisant pénétrer le manche doucement dans sa bouche
et en le ressortant totalement de quelques centimètres. Je le réintroduisais jusquà
lentrée de la gorge et repartais vers la sortie, après avoir stationné quelques
secondes au fond de sa bouche. En vrai sadique que jétais, je métais dit quil
fallait seulement que jhabitue petit-à-petit sa gorge à la présence du monstre. Et
quaprès quelque temps, elle ne sapercevra même pas que javais dépassé la limite
fixée. Et cela se passa effectivement ainsi. Après une dizaine dallers-retours «
gentils » je me mis à dépasser insensiblement lentrée de la gorge, jusquà aller
cogner sur la glotte. Elle eut un instant un début de réflexe pour me repousser, puis
elle se ravisa et laissa faire, probablement vaincue par mon désir de lui faire mal.
A partir de là, je ne pris plus aucune précaution et me mis à enfoncer ma queue de
plus en plus fort et de plus en plus profondément dans la gorge de Farida. De temps en
temps, certainement par fatigue ou peut-être aussi pour se venger de la souffrance
que je lui causais, elle refermait un peu sa bouche et rapprochait ses dents, qui
raclaient ainsi mon sexe qui continuait ses va-et-vient. Elle me faisait mal, mais je
men fichais éperdument. Jen étais maintenant à tirer fortement sur ses cheveux et à
lui faire mal presque volontairement. Par pur sadisme ! Je la tirais violemment par
les cheveux et faisait faire à mon membre de longs mouvements de va-et-vient.
sortais lengin à quelques centimètres de sa bouche pour lui permettre de respirer une
seconde (jétais conscient quelle était en permanence à la limite de l et
du vomissement) puis je le replongeais brusquement jusquau fond de sa gorge en tirant
avec force sur ses cheveux. Je ne sais pas trop pourquoi, mais Farida abandonna assez
rapidement le combat et se soumit à ma violence. Elle nutilisa même plus ses dents
pour me dissuader daller trop loin et de lui faire trop mal.
Je voyais ses yeux qui se remplissaient de larmes qui se déversaient en abondance le
long de se joues. Je voyais son nez qui coulait comme une fontaine et je voyais les
efforts inutiles quelle faisait pour faire réintégrer la morve dans ses narines. Elle
était pitoyable et jadorais ça ! Jétais le maître et cela me donnait tous les droits
! Même celui de r ! Jétais le mâle prétentieux qui prenait son pied en
profitant de la bonne volonté et de la gentillesse de sa femelle. Je dois à la vérité
de dire, que sur le moment, je ne me posais absolument aucune question de morale.
Jétais heureux, et cétait tout ce qui comptait. Maintenant, le gland de mon sexe
atteignait et dépassait à chaque fois la glotte de Farida. Et quand le manche
ressortait de sa bouche, il entrainait avec lui des flots de salive qui allaient
sétaler par terre. Elle semblait souffrir le martyre et cette souffrance me
paraissait tellement érotique, quelle accroissait mon excitation et mon plaisir.
Parfois, je sentais Farida se crisper et sa main, qui navait toujours pas lâché la
base de mon manche serrait très fort pour mindiquer quil fallait que jarrête au
moins une seconde pour quelle ne vomisse pas toutes ses tripes. Elle vomissait
pourtant de temps en temps sur mon manche, quand il ressortait. Mais ce nétait un
vomissement de malade qui faisait sortir tout le contenu de lestomac. Cétait le
surplus de salive que les frottements de mon sexe lui faisaient produire à profusion
quelle déversait. Et je trouvais cela encore plus érotique. Jétais conscient que
Farida ne prenait absolument aucun plaisir au pilonnage de sa bouche et de sa gorge.
Mais je nen avais cure ! Cétait tellement merveilleux de la baiser comme cela ! Je
continuai donc imperturbablement les va-et-vient, jusquà ce que lirrésistible
torrent de jouissance dévale et me fasse exploser dans la gorge de Farida. Jéjaculais
en un jet presque continu, et en hurlant à la mort, une quantité incroyable de foutre
dans la gorge et la bouche de mon amante. Je la voyais en essayant davaler
la part qui sétait logée au fond de sa gorge et recracher celle qui lui avait rempli
la bouche. Après un effort surhumain, elle réussit à ne pas et à avaler une
bonne quantité de mon sperme.
Elle leva la tête pour me regarder et voir dans quel état jétais. Cétait comme si
elle avait peur de mavoir déçue. Elle se mit alors à faire une chose merveilleuse.
Elle me branla avec force pour faire sortir le reste de sperme que je navais pas
encore totalement éjaculé et à ouvrir la bouche pour quil y aille directement. Il ne
men restait pas des tonnes, mais le peu quelle avala de cette façon mavait rendu
encore plus heureux. Quand, elle vit que mon engin avait totalement ramolli, elle le
lâcha et se mit à ramasser avec ses doigts tout le foutre quelle pouvait, sur son
visage et son cou. Elle lécha soigneusement chacun de ses doigts, en me regardant
dune manière provocante, comme pour me dire, quelle avait été plus forte que moi.
Quelle navait pas flanché.
Un peu honteux de ce que javais fait, je regardais Farida qui reprenait doucement sa
respiration, tout en sessuyant le visage avec un pan de drap du lit sur lequel elle
était toujours assise. Elle essuyait surtout ses yeux que javais remplis de sperme et
quelle nétait arrivée à nettoyer totalement avec ses seuls doigts. Jétais anxieux
de connaître son verdict à propos de mon comportement sadique. Elle continuait de me
regarder un moment avec son air provocant, puis elle eut un large sourire (un vrai
sourire de triomphe) et me dit dune voix que mes coups de boutoir dans sa gorge et
sur ses cordes vocales avaient rendu éraillée:
- Kiffach kount ? (Comment jai été ?)
Que répondre à une telle question. Je lai prise dans mes bras pour la serrer très
fort contre moi et lui ai susurré à loreille quelle avait été merveilleuse et
quelle était certainement la maîtresse la plus magnifique que javais eu depuis que
jai commencé à avoir des aventures avec les femmes. Jajoutais que jétais désolé
pour mon comportement de mufle. Pour ma décharge, jajoutai que dès le départ jétais
sûr quelle était partante pour toutes les expériences.
/
Farida resta avec moi toute laprès-midi. Elle revint plusieurs autres après-midis et
pendant toute cette période, où nous nétions que deux - elle et moi - nous avons
continué à faire lamour comme des malades. Cétait une maîtresse vraiment à la
hauteur : toujours partante ! Y compris quand elle était fatiguée et que mes besoins
sexuels tyranniques exigeaient delle encore plus de don delle-même. Et elle nétait
jamais passive. Elle participait à tout et dévidence, elle ne simulait pas les
orgasmes intenses quelle avait sous mes furieux coups de rein. Et tous ces après-
midis passés ensemble, nous avons absolument tout fait. Elle ne mavait jamais rien
refusé de ce que je lui avais demandé. Et bien entendu, moi non plus je ne lui avais
jamais rien refusé. Parce que Farida était une amante exigeante. Elle avait des
préférences et de fantasmes. Tous ses fantasmes que nous pouvions accomplir à deux,
nous les avions vécus.
Cela partait des positions du Kamasoutra qui linspiraient jusquaux ersatz de double
et même de triple pénétration quelle appelait de ses vux pendant que je la possédais
par lun ou lautre de ses trous. Ces ersatz, elle sétait équipée pour les réaliser.
Elle avait avec elle toute une panoplie de godes quelle utilisait (ou me faisait
utiliser) pour remplacer un véritable zob dans son cul ou dans sa chatte pendant que
je moccupais du trou vacant. Elle en tirait un énorme plaisir. Et moi aussi, tant
elle savait sen servir et tant elle extériorisait toute la joie qui était en elle
pendant nos ébats. Farida aimait le sexe, et elle ne sen cachait pas. Un jour, elle
mavoua, après sêtre assuré que cela ne scandalisait pas, quelle aimait aussi les
belles femmes. Et quelle voudrait bien en partager une ou plusieurs avec moi.
Je nétais absolument pas scandalisé. Gêné, peut-être. Parce quelle ajoutait tout le
temps, quelle aimait surtout les jeunes filles fraiches. Elles lui donnaient plus de
plaisir que « les vieille vaches » disait-elle en rigolant. Au bout de quelques
semaines, elle me demanda lautorisation demmener avec sa dernière connaissance. La
plus jeune des filles dune de ses voisines, quelle avait séduite et qui était
devenue depuis quelques mois « sa femme ». Jétais un peu dubitatif, mais jacceptais
tout de même quelle lamenât avec elle, le week-end suivant. Javais espéré que le
fait que ça soit un week-end, la fille ne pourra pas se libérer. La tradition dans
notre société, voulait que les filles nétaient réellement libre que les jours de
travail ou décole. Les jours de repos, elles restaient la plupart du temps enfermées
chez elle ou se rendaient visite en famille.
Cétait très mal connaître les trésors dingéniosité dont étaient capables Farida et
sa complice Imène. Elles concoctèrent le plan parfait, pour passer ensemble la journée
du samedi, sans que les parents dImène ne se doutent de rien. La jeune fille devait
accompagner Farida pour une sortie à Tipasa pour visiter les ruines romaines. Elle le
lui avait promis depuis longtemps mais navait pas encore trouvé le temps de tenir sa
promesse. Les parents dImène, qui étaient nouveaux dans le quartier, avaient trouvé
Farida très gentille avec eux, et lui faisaient confiance. Dautant quelle donnait
beaucoup de son temps pour aider la jeune fille à se perfectionner dans la langue
française. Sans aucune contrepartie, croyaient-ils ! Sagissant du mari de Farida, les
choses étaient claires depuis très longtemps. Elle faisait ce quelle voulait de son
temps. Et lui aussi. Et ils ne se cachaient rien lun à lautre. Mais ceci est une
autre histoire. Je nen suis pas encore arrivé là.
Le samedi matin donc - il ne devait pas être plus de neuf heures- la sonnette de la
porte dentrée retentit de manière insistante. Je reconnus immédiatement la manière de
sonner très autoritaire de Farida. Jouvris la porte et me trouvai face à face ave
une créature de rêve ! Une jeune fille qui ne devait pas avoir plus de vingt ans. Une
était une superbe plante ! Grande, élancée, épaules larges, taille fine, hanches
étroites, une poitrine arrogante avec des seins, pourtant de taille moyenne, qui
pointaient tels de petits obus sous le coton de son tee-shirt gris. Elle avait des
jambes interminables, superbement galbées, moulées dans un jean en velours gris. Ses
cheveux noir corbeau, raides et longs, lui tombaient sur les épaules et étaient
visiblement soigneusement défrisés. Elle passait certainement de longs moments chez la
coiffeuse, pour les maintenir en létat. Elle avait dimmenses yeux noirs, avec des
reflets tendant vers le rouge. Ils étaient surmontés de sourcils très fins, épilés
avec soin. Elle avait un nez droit, un peu trop long, mais qui ne dépareillait pas
avec lensemble de son visage. Visage lui-même long, avec un menton volontaire et une
immense bouche, légèrement avancée, tellement sensuelle quelle pouvait faire
fantasmer les anges eux-mêmes. Ses lèvres étaient un peu lippues, mais paraissaient
douces et très fermes. Et quand elle entra dans lappartement et quelle me tourna le
dos, je remarquai son magnifique fessier rond et bombé qui créa immédiatement une
vague de douce chaleur dans mon bas ventre. Et pour corser le tout, la belle plante
était noire ! Une superbe noire du sud algérien, qui avait toujours été pour moi le
fantasme érotique absolu.
Farida, qui sétait cachée derrière son amie pour bien me faire profiter de la
surprise, entra derrière elle. Elle me lança un regard ironique et me dit :
- Nest-ce pas quelle est magnifique ?
- Cest peu dire quelle est magnifique ! Elle est vraiment canon ! Mais bien
trop jeune pour moi ! Je suis sûr quelle na pas plus de vingt ans ! Et quelle est
vierge ! Que veux-tu que je fasse dune fille vierge, Même si elle est aussi canon ?
- Cest vrai quelle est encore vierge et quelle doit le rester. Ses parents -
des gens très traditionnels - la ont sils venaient à découvrir que leur fille a
perdu son hymen. Ils viennent darriver à Alger. Le père est un grand commerçant de
Bechar. Il tient à ce que ses s dont Imène fassent des études sérieuses. Il
ny a quà Alger que cest possible. Il a donc tout vendu à Béchar pour investir à
Alger. Il a acheté la villa vide à côté de la notre. Mon mari et moi sommes les seules
personnes que la famille de la fille fréquente. Et ils nont confiance quen moi,
parce que je donne mon aide à la fille pour quelle puisse suivre ses études
supérieures en langue française. Et la suite tu la connais : Imène est tellement belle
que jen suis devenue follement amoureuse. Elle a mis un certain temps pour accepter
mes avances. Mais tu me connais : on ne me résiste pas longtemps.
La fille était restée debout en retrait de nous et nous écoutait, Farida et moi,
parler delle. Elle ne semblait pas très gênée. Pas très à laise non plus. Elle nous
regardait à tour de rôle sans rien dire, avec ses magnifiques yeux noirs qui
brillaient de mille feux. Farida mapprit que la fille navait encore jamais connu de
garçons, ni bien entendu, fait lamour ou même flirté. Ses parents lui avaient
interdit toute fréquentation masculine, fût-elle celle dun collègue de lycée et,
maintenant, duniversité. Elle avait un esprit très curieux et avait soif dapprendre.
Y compris les choses interdites. La seule chose quelle avait encore peur dassumer,
cétait la perte de sa virginité. Son père et même ses jeunes frères, élevés dans la
pure tradition machiste, la aient sans aucun regret en cas de scandale.
- Farida ma dit que tu étais un homme dhonneur. Que tu ne profiteras jamais de
moi. Cest vrai ?
Cétait la première fois que jentendais sa voix. Une voix forte et un peu rauque,
dune femme du désert. Une voix dune sensualité torride. Elle ne le faisait
certainement pas exprès, mais le son de sa voix me donnait des frissons. Et me
titillait le bas-ventre.
- Tu peux me faire confiance, répondis-je. Dailleurs je viens de prendre la
décision de ne jamais te toucher. Tu es trop jeune et moi trop vieux ! Tu as tout ton
avenir pour toi. Avec ta beauté, tu ne tarderas pas à trouver le prince charmant qui
deviendra ton futur mari.
- Tu mas promis quil me fera découvrir ce que cest lamour avec un homme. Et
voilà quil me dit quil ne me touchera pas ! Tu mas menti !
La fille sadressait à Farida. Je ne sais pas ce quelles avaient bien pu comploter
ensemble. Mais si javais bien compris le sens du reproche quelle venait de lui
faire, Imène voulait flirter avec un homme pour savoir ce que cela pouvait lui
procurer comme plaisir. Elle navait jusque là connu que le corps dune femme -Farida
- qui semblait avoir pris beaucoup de plaisir avec elle et qui en était même tombée
amoureuse. Mais cela ne lavait pas totalement satisfaite. Elle voulait connaître ce
que pouvait lui procurer létreinte dun homme. Et Farida, qui semblait beaucoup tenir
à elle, lui avait proposé son propre amant. Elle lui avait certainement raconté
quelle couchait avec moi et quelle prenait énormément de plaisir dans mes bras. Elle
voulait donc me prêter à elle.
Je ne savais pas si je devais en être fier ou furieux. Fier parce que Farida me
mettait entre les bras une superbe plante, qui même si elle devait absolument rester
vierge, constituait un met de choix pour un coureur comme moi. Dun autre côté je
nappréciais pas dêtre traité comme un pion, dont on dispose à sa guise. Mais en fin
de compte, jétais très content. La seule chose qui me faisait réfléchir et bridait
mes instincts de prédateur sexuel, cétait la peur dun accident très vite arrivé dans
de telles circonstance. Personne ne peut raisonnablement garantir quil ne se laissera
pas entrainer par ses pulsions et aller vers lirréparable. Cest ce que je dis à
Farida, nosant pas encore madresser directement à Imène.
- Tu me connais mieux que nimporte qui. Peux-tu garantir à ton amie que je ne
me laisserais pas entrainer vers lirréparable. Elle est super belle, et je suis
convaincu quelle est aussi très sensuelle et quelle adorera faire lamour avec un
homme. Tant elle que moi, pourrions nous laisser entrainer par le plaisir et le désir.
Laccident peut arriver très vite.
- Je serai là pour vous empêcher daller trop loin. La seule chose qui vous est
interdite cest la défloration. Cela tant quImène gardera cette contrainte dans sa
tête. Je garde beaucoup despoir de la voir changer rapidement davis. Et si cela
venait à changer et que la fille devient autonome vis-à-vis de ses parents, alors tout
vous sera permis. Et à moi aussi ! Jaime vraiment cette fille, et je veux lui ouvrir
tous les horizons du bonheur amoureux.
/
A partir de là tout bascula. Imène devint ma deuxième maîtresse. Longtemps, nous fîmes
lamour à trois. Pour moi, tout comme pour Imène, il nous manquait de nous lâcher
totalement et darrêter de faire attention en permanence pour ne pas dépasser les
limites qui nous étaient tracées. Cétait Farida qui tout ce temps jouait au censeur.
Elle surveillait notamment la position de mon sexe quand il sapprochait trop de la
vulve de la fille. Imène et moi, désirions plus que tout dépasser cette limite. Elle
avait fait montre dune sensualité torride. Elle adorait tout ce que je lui faisais :
caresses sur tout son corps (ses merveilleux seins étaient tellement sensibles,
quelle jouissait comme une folle sous mes caresses ou sous mes baisers), le pinceau
que je lui faisais de temps en temps, pour lui faire sentir la force et la douceur de
mon manche sur ses grandes lèvres, son clito et à lentrée de son vagin. Et les
nombreux cunnilingus que je lui appliquais parfois en concomitance avec Farida, qui
adorait lui bouffer la chatte.
Farida jouait à la perfection son rôle de gardienne de la virginité dImène. Même
quand cette dernière, vaincue par limmense désir quelle avait de sentir mon zob en
elle, pleurait pour quelle me laisse léclater, elle opposait un refus catégorique.
Et quand cétait moi qui montrait des signes de faiblesses et quelle voyait que
jétais sur le point de céder à mes pulsions et pénétrer au plus profond de lintimité
dImène, elle se mettait à quatre pattes à côté de nous et mordonnait de la pénétrer
- par devant ou par derrière, elle sen fichait - et de me vider en elle. Cétait
dailleurs presque toujours comme cela que les choses finissaient.
Farida me refusa même que je sodomise la fille. Imène était daccord. Elle plaidait sa
cause en lui affirmant que personne ne saura jamais quelle baisait par derrière.
Surtout pas son futur mari, à qui elle refusera laccès de son anus, sur la base de la
morale et des tabous sociaux. Elle voulait vraiment goûter à mon manche lui défonçant
lanneau. Elle me voyait souvent enculer Farida et lui procurer plusieurs orgasmes
successifs. Elle lentendait crier que je lui faisais mal, et quelle adorait quand je
lui faisais mal. Et surtout, elle lécoutait, avec presque de ladmiration dans les
yeux, prononcer ses fameuses phrases à la vulgarité exquise :
- Dekhel zebbek fi ga3ri ! Edjbed bezzour ! Nik Farida ! Wari le-tefla
kiffache ta3-ref ett-nik mra melour! Edjbed lekhra men ga3ri! Zid kessarli ga3ri!
Zid ! Zid ! Ziiiiiiiiiiiiiiid ! (Mets-moi ton zob dans le cul! Tire-moi en force !
Baise Farida ! Montre à la fille comment tu sais niquer une femme par derrière ! Tire
la merde de mon cul ! Continue de me détruire le cul ! Encore ! Encore ! Encoooooore !
Et à chaque fois, elle voyait grandir lintensité de plaisir quelle prenait sous mes
coups de reins. Cétait cette intensité de plaisir quelle voulait elle aussi
connaître et vivre. Cétait aussi la série dimmenses orgasmes quelle voyait chez
Farida, quand je pilonnais sa chatte dans toutes les positions, qui lui donnait envie
de se faire éclater lhymen et douvrir la voie à ses orgasmes à elle. Plus le temps
passait, plus la fille voulait franchir le Rubicon. Farida, freinait des quatre fers :
elle ne voulait pas être la cause dun drame. Peut-être aussi quelle était un peu
jalouse et quelle nacceptait pas de bon cur de me partager complètement avec elle.
Mais cela, elle ne le dit jamais.
Elle mavait permis difficilement parce quelle craignait que la fille ne supporte
pas la gêne et surtout la douleur que cela allait lui occasionner de pratiquer sur
Imène la « baise buccale ». La fille qui mavait vu le faire avec son amie, était
aussi un peu craintive. Surtout quelle navait pas vu que Farida eût pris un
quelconque plaisir, sauf celui de sescrimer avec mon sperme et den jouer avec
volupté, avant de lavaler. Mais elle accepta tout de même les séances de que
je lui infligeais et avait même fini par en devenir une véritable experte. Elle
savait, mieux que son amie, empêcher mon manche daller trop loin, en mettant
fermement sa main à la base de la hampe et de raccourcir ainsi la distance que devait
parcourir le zob dans sa bouche et sa gorge. Jen tirais autant de plaisir quavec
Farida, tout en bridant mes instincts sadiques.
La bouche dImène était aussi douce, chaude et humide que celle de Farida. Mais elle
était plus grande. Et ses lèvres lippues ressemblaient à une merveilleuse chatte.
Quand je pénétrais à lintérieur, javais vraiment limpression que mon sexe entrait
dans un superbe vagin bien serré : la même douceur, la même humidité, la même
viscosité après quelques allers-retours, et aussi la même étroitesse qui permettait à
mon sexe de se frotter, à chaque mouvement, aux parois. Et Imène avait très vite
appris à bien écarter ses dents, pour ne pas quelles raclent lengin. Cétait à
chaque fois divin !
Mais même comme cela, il nous manquait à tous les deux lessentiel : la liberté
daller et venir dans ses tunnels. Et nous le faisions savoir de plus en plus
fréquemment et avec de plus en plus de virulence à Farida. Elle finit par céder. Elle
avait entendu parler dune gynécologue installée dans une ville de Kabylie, qui
pratiquait des opérations de reconstruction dhymens et avait pris contact avec elle
pour savoir, si cétait vrai et si elle accepterait le moment venu, de soccuper dune
jeune fille. La réponse ayant été positive, elle nous annonça un peu à contrecur,
quelle donnait son accord pour ne plus tenir compte des limites imposées. Ni Imène,
ni moi ne montrâmes notre joie. Nous savions que pour Farida, ce nétait pas une bonne
nouvelle, et quelle nacceptait la chose quà contrecur. Nous savions quelle était
un peu jalouse de nous deux. Elle avait peur que la jeune fille prenne lascendant sur
elle, et devienne mon amante de cur. Dune part elle aimait sincèrement Imène et ne
voulait pas la perdre. Dune autre, elle tenait aussi à moi, qui étais presque devenu
son second mari.
Imène et moi, ne voyons pas les choses comme elle. Imène, était elle aussi sincèrement
attachée à Farida. Ce nétait pas encore de lamour, mais de la reconnaissance et de
la tendresse. Farida avait été pour elle la clé qui lui avait ouvert les portes de la
vie : estudiantine dabord, parce que sans son aide, elle naurait pas pu réussir à
suivre les cours de la faculté, tant les cours en langue française lui étaient
inaccessibles. Sexuelle ensuite, parce quelle lui avait ouvert les portes du plaisir.
Quant-à-moi, coureur invétéré de jupons, javais trouvé avec Farida une stabilité que
je navais jamais connu : elle moffrait absolument tout ce dont javais besoin en
émotions et en plaisir. Il nétait donc aucunement question pour elle et pour moi de
sacrifier Farida. Elle faisait partie de notre vie amoureuse, et elle le restera !
Farida nous avaient annoncé la nouvelle, au moment où elle et Imène quittaient
lappartement pour retourner chez elles. Il nétait donc pas possible pour nous deux
de passer immédiatement à lacte. Nous nous sommes donc donné rendez-vous pour le
lendemain matin. Imène décida immédiatement quelle nira pas à la fac ce matin là.
Elle était trop pressée de connaître ce moment où elle allait devenir une vraie femme.
Quant à Farida, elle avait déjà décidée que ce matin là elle ne sera pas présente.
Pour la première fois, elle nous laissera seuls Imène et moi. Ce fut la nuit, au
téléphone, quelle mexpliqua, que cette matinée sera tellement importante pour Imène,
quelle ne devait pas la lui gâcher. Et sa présence - et sa jalousie, ajouta-t-elle -
seraient de trop. Elle me donna rendez-vous pour plus tard, en me promettant que dici
là elle aurait surmonté sa petite jalousie.
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